vendredi, avril 21, 2006

Chronique cinema : a manger


Enfermés dehors d’Albert Dupontel

Il s’est assagit le gamin. Peut être l’age ou la paternité. Moins ultime & méchant que Bernie, le héros découvre la tendresse & l’amour. C’est beau. Il fait aussi dans le politiquement correct en redresseur de tord contre les puissants de la finance qui ignorent totalement le monde extérieur & au pouvoir de l’uniforme.
Une bonne vision de la faim. Car quand on est pauvre & dans la rue, on a envi d’avoir un toit, a manger & de l’amour.
Cf Bread and Roses de Ken Loach.

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