vendredi, avril 27, 2007

C'est la fete anti Sarko

C'est incroyable le nombre de mail anti Sarkozy que je reçois

Ça commence gentil : le rêve français



Une très marante : Bientôt dans toutes les mairies



Au tour des vidéos, ça démarre fort : Sarko vs Noir Désir






Sarko vs Noir Désir - wideo
Sarko vs Noir Désir - wideo

Sarko vs Noir Désir - wideo
Portrait de Sarko sur L'Homme Pressé de Noir desir


Celle la est au top : La France d'après



Et pour conclure la politique fiction : SARKO EST MORT !!!

dimanche, avril 22, 2007

Cascade



Comment ne pas s'ennuyer pendant une balade en barque dans la bois de Vincennes ?
Prendre un livre.

samedi, avril 21, 2007

Bilan pour demain

Le Pen passe en 3e position

Le favori de droite Nicolas Sarkozy et la candidate socialiste Ségolène Royal étaient en tête des derniers sondages autorisés avant le premier tour de la présidentielle dimanche, alors qu'un institut plaçait le dirigeant d'extrême droite Jean-Marie Le Pen en 3ème position.

Selon CSA, Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal reculent chacun d'un demi-point dans les intentions de vote du premier tour à respectivement 26,5% et 25,5%, tandis que Jean-Marie Le Pen, en hausse de 0,5 point à 16,5%, passe devant le centriste François Bayrou, qui cède un point à 16%.

Depuis environ deux mois, le candidat centriste devançait le candidat d'extrême droite, qui avait provoqué un séisme politique en 2002 en se qualifiant pour le second tour la présidentielle. Au deuxième tour de scrutin, Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy sont toujours à égalité 50-50, selon CSA, qui avait déjà donné ce score dans un précédent sondage.

Selon Ipsos, M. Sarkozy est stable à 30% et Mme Royal gagne 0,5 point à 23,5%. Pour cet institut, le troisième homme reste François Bayrou, qui recule d'un point à 17%. Quant à Jean-Marie Le Pen, il obtient 13,5% (+0,5). Au second tour de scrutin, M. Sarkozy l'emporterait avec 53,5% des voix (=) face à Mme Royal, créditée de 46,5% (=).

Pour BVA, Nicolas Sarkozy est stable avec 29% d'intentions de vote devant Ségolène Royal qui gagne un point à 26%, et François Bayrou qui en gagne 2 à 17%. Jean-Marie Le Pen baisse d'un demi-point, à 12,5% d'intentions de vote. Au second tour, M. Sarkozy l'emporterait sur Mme Royal avec 52% (-1) des suffrages contre 48% (+1). Selon ces trois instituts, aucun des huit autres candidats ne dépasse les 5%, score obtenu par Olivier Besancenot de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR).

Il s'agit des derniers sondages publiés avant la fin officielle de la campagne vendredi à minuit, heure à partir de laquelle toute publication d'enquête d'opinion et toute tenue de meeting politique sont interdites.

(D'après AFP)

vendredi, avril 20, 2007

Domi

A force de fréquenter les verts, je les trouve très staliniens.
Très "c'est nous les sauveurs de l'humanité, sans nous tout s'écroule".
La phrase de Voynet: «On ne fera pas d’écologie sans les écologistes».
Genre, on ne peut pas faire d'écologie sans leur parti.
Ils sont rester sur des discours des années 70 : pas de voiture & pas de nucléaire.
Ils ont ratés, le développement durable et la décroissance.
En plus, Nicolas les a brûler avec sont pacte ecolo, ils ne vont rien faire comme résultat.

Sans compter qu'au niveau local : c'est pire que tout.
A Paris, beaucoup de gens sont remonté contre eux.
Ils veulent avoir/voir du vert a n'importe quel prix.
Supprimons les voitures mais sans offrir plus de transports collectifs.
Leur réponse : c'est pas moi, c'est la RATP.
C'est formidable ces politiques qui ne pensent pas aux conséquences de leurs actions.

S'en remettre a ses instincts





Extrait :
Son problème, c'est la politique. Ségolène Royal n'y est pas vraiment à l'aise. Même si l'on doit reconnaître que l'instinct qui la pousse à éluder les exigences de la politique s'est trouvé validé par sa désignation par le Parti socialiste alors qu'elle avait soigneusement évité de fournir substance et détails. Une fois sa candidature acquise, Royal s'est efforcée de maintenir le plus longtemps possible sa méthode de départ - laquelle consiste à ignorer l'exigence politique fondamentale qui veut que l'on fournisse des explications détaillées et que l'on forge des alliances - comme modus operandi d'une campagne électorale s'étalant sur plusieurs mois. Dans le même temps, au lieu de capitaliser sur son état de grâce de 2006, elle a dilapidé son avantage initial. A la différence d'autres candidats charismatiques mais non experts - Ronald Reagan, par exemple - elle a montré qu'elle n'a pas le don de rendre compréhensibles les questions difficiles. Lorsqu'elle se trouve acculée ou clairement prise en défaut, son réflexe n'est pas de solliciter, comme il serait légitime, l'avis des experts, mais de s'en remettre à ses instincts ou à ses émotions.

En fait, Ségolène Royal a cherché à établir une nouvelle méthode, très personnelle, de captage des voix. Exemple : interrogée sur ses idées budgétaires, elle répond qu'il s'agit de questions techniques à confier à un quelconque ministère. Incapable d'expliciter sa proposition de contrat pour le premier emploi, elle se plaint d'être harcelée par des bureaucrates tatillons. Les contradictions liées à son projet de financer l'éducation en renonçant à la construction d'un nouveau porte-avions, ou son refus insistant de permettre à l'Iran d'accéder au nucléaire civil ont généré une confusion qui n'a jamais été clairement démêlée. Après avoir effectué l'année dernière au Moyen-Orient une tournée marquée par l'amateurisme, elle s'est à peine risquée sur le terrain de la politique étrangère.

Et puis elle hésite. Ce n'est pas vraiment à des centres de rééducation encadrés militairement qu'elle pensait pour placer les voyous des banlieues, mais à quelque chose de plus social. Un jour, dans un entretien écrit, elle fait une allusion aux aspects "brutaux" de son enfance ; le lendemain, à la télévision, elle refuse tout net d'évoquer le sujet. Dans ses tentatives pour présenter une personnalité compréhensible, la façon dont Ségolène Royal se dépeint à présent se résume souvent à une attitude de victimisation doublée d'une exaltation déplacée.

Lorsqu'on lui demande de détailler ses propositions de manière plus précise et qu'elle se sent débordée, elle se plaint d'être bousculée par des bureaucrates et évacue tout doute raisonnable en prétendant qu'elle est la seule à bénéficier d'un accès divin au sentier lumineux de l'avenir : "Je vais apporter la preuve obstinée, permanente, acharnée, que c'est moi qui incarne et réaliserai le changement du fait de ma volonté de bouger en profondeur les choses et du regard neuf que je porte sur le fonctionnement de la société."

Mais lorsque le débat politique se fait plus rude - même s'il n'est pas aussi brutal que cela au regard des standards internationaux - elle se sent aussitôt insultée. La personnalité originale et anti-establishment qui, en 2006, avait suscité autour d'elle un intérêt dépassant largement les limites de la gauche, s'est aujourd'hui largement diluée. La seule nouveauté qu'elle offre désormais est de se présenter délibérément comme le symbole victimisé d'une nation de victimes, d'une société de doléance dans laquelle les honnêtes gens se sentent floués et ont l'impression qu'on leur en demande trop : trop de travail, trop de patience, trop de détermination.

jeudi, avril 19, 2007

Un problème sur le trace

Voila pourquoi Ségolène fait froid dans le dos a certaine personne.

JERUSALEM - mardi 05 decembre 2006 à 00h04

La candidate socialiste Ségolène Royal a considéré lundi à Jérusalem que la construction du très controversé "mur de séparation" entre Israël et la Cisjordanie "est sans doute justifiée" quand "c'est nécessaire pour la sécurité", reconnaissant toutefois qu'"il y a un problème sur le tracé de ce mur".


Mon coeur balance

Entre :

"On a les politiciens que l'on mérite"

et

"Les promesses n'engagent que ceux qui les écoute"

mon coeur balance

dimanche, avril 15, 2007

Vraiment Sego ?

Discussion avec ma prof de soeur ;
Le monde enseignant ne votera pas Ségolène car ils se souviennent trop de cette circulaire :
Ségolène : Outreau ? Connais pas !
et sa mise au pilori d'un enseignant (finalement innocent) qui a fini par ce suicider.

Le ministère de l'écologie s'en souvient aussi particulièrement de son passage :
Hautaine
Prenant des décisions sans écoute
Prise de position a l'emporte pièce.

Et si Ségolène avait été choisi car c'était la plus mauvaise candidate ?
Avec une adhésion au PS a 20 EUR.
Certain parti on du être tente de noyaute les sections pour pousser au vote Ségolène.
Comme cela a été fait par le PC pour détruire un candidature unique anti-libérale.

mercredi, avril 04, 2007

Au Boulot

Y a des gens qui font rien mais ça se remarque.
D'autres, brassent du vent, mais ça mène pas loin.
Et aussi, des personnes qui dégagent en touche mais à la longue c'est gênant.