vendredi, juillet 07, 2006

Chronique cinema : le Pere


Tideland de Terry Gilliam

Ca ressemble un peu à Las Vegas parano. Mais en moins visuel car pas besoin de montrer une maison qui tangue pour faire ressentir se tangage. Ca m’a fait pensé à La Vie est belle de Roberto Benigni où le père raconte des histoire à son fils. Là, c’est la fille qui se raconte toute seule des histoires. Obligé, son père est en train de sécher dans le rocking-chair.




Le Voyage en Arménie de Robert Guédiguian

A la recherche du père ou plutôt arriver à communiquer avec lui avant qu'il ne soit trop tard pour ne pas regretter tout ce temps qui file.
La meilleur phrase du film : « c’est facile en France d’être communiste quand il n’y a pas de conséquence »

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