jeudi, mai 31, 2007
CRS = Tendresse
Une nouvelle Manif de droite pour le 12 juin
Protégeons les parachutes dorées !
dimanche, mai 27, 2007
Bouc emissaire
(1) On ne dit jamais dans les journaux "la CEE" mais on utilise le mot "Bruxelles" comme si les Belges étaient aussi responsable et en oubliant que les français votent aussi pour les députes européens. C'est vrai qu'ils utilisent ce vote pour montrer leurs mécontentement ponctuel.
vendredi, mai 25, 2007
Le Bobo nouveau est arrivé
Son site Internet met en relation bénévoles et associations, il s'inquiète du réchauffement climatique, il a repris des études de psychologie et se retire deux fois par an dans un monastère : Tristan de Feuilhade, 52 ans, est le prototype du "créatif culturel".
Selon Les Créatifs culturels en France, étude sociologique publiée en mars aux éditions Yves Michel (131 p., 13,80 euros), 17 % des Français relèveraient de cette tribu, composée pour l'essentiel de femmes (64 %) et de cadres supérieurs (40 %). Sa particularité est de conjuguer six positionnements, tous hérités des années 1960 : l'écologie, l'égalité des sexes, la révolte contre les discriminations, le refus de la compétition et du règne de l'argent, l'engagement sociétal, le développement personnel.
Le créatif culturel serait-il le nouvel avatar des bobos ? "Le bobo se définit par son comportement ; les créatifs culturels, eux, se fédèrent autour de valeurs", analyse Eric Seuillet, un des auteurs de l'étude.
Le concept est né aux Etats-Unis au terme d'une enquête menée par le sociologue Paul Ray et la psychologue Sherry Anderson. En 2001, Eric Seuillet, spécialiste des tendances émergentes, entreprend de mener une étude similaire en France.
Depuis, la presse s'empare aussi du sujet. En février, le magazine Psychologies consacre un article à ce groupe de personnes qui correspondent assez bien à son lectorat, très impliqué dans le développement personnel, l'écologie et la solidarité. "Autour de moi, en province comme à Paris, je rencontre beaucoup de créatifs culturels qui s'ignorent", relève Erik Pigani, journaliste à Psychologies. En mars, l'hebdomadaire chrétien La Vie développe ce thème.
"UN FORMIDABLE LOBBY"
Ce concept remporte surtout un franc succès auprès de la presse économique, d'Enjeux-Les Echos à La Tribune en passant par Stratégies. "Les créatifs culturels sont en train de révolutionner notre approche marketing", s'enthousiasme Jérémy Dumont, consultant en communication. Le 29 mars, il a présenté, devant un public de professionnels de la publicité, du marketing et de la communication, un projet de chaîne de télévision sur Internet.
"Les marques vont devoir s'adapter à ces nouveaux consommateurs, explique-t-il. Plutôt que de faire la promotion d'un produit, elles devront les informer pour les impliquer dans leur démarche." A l'image de Voyage-sncf.com, qui a mis en place un "éco-comparateur" pour mettre en évidence les émissions de carbone propres à chaque moyen de transport. "Les créatifs culturels représentent une cible que nous voulons atteindre", affirme Céline Decoster, chargée de la responsabilité sociale et environnementale de ce site Internet.
Même démarche du côté de l'association de défense de la nature WWF. "Leur mobilisation représentera tôt ou tard un formidable lobby auprès des pouvoirs publics", reconnaît Jacques-Olivier Barthes, directeur de la communication de l'association.
Pour l'instant, les créatifs culturels ne se revendiquent pas comme tels et ont surtout été repérés dans des milieux spécifiques (écologie, marketing, management, consulting et développement personnel). Mais des réseaux plus larges se dessinent. A commencer par celui de l'association Demain-maintenant, créée par les auteurs de l'étude sociologique française. Reste à savoir si les créatifs culturels qui s'ignorent, si rétifs à toute forme de récupération, vont mordre à cet hameçon aux relents de marketing...
Moi et le recyclage
* j’utilise de l’eau chaude pour bien nettoyer les conserves.
Moi et le bio
jeudi, mai 24, 2007
C'est pareil dans l'entreprise
Jean-Luc Viaux
mardi, mai 22, 2007
lundi, mai 21, 2007
vendredi, mai 18, 2007
Marketing chinois
sur le forum fr.lettres.langue.chinoise
Patrice ÉLIE écrit :
Comme l'exprime bien votre référence, cette année 2007 n'est pas "cochon d'or". On sait que cette année associée au "12ème rameau terrestre hai 亥" est porc (ou cochon) zhu 猪.
2007 = année dinghai 丁亥, en sachant que ding 丁 correspond au feu 火.
1971 = année xinhai 辛亥, en sachant que xin 辛 correspond au métal jin 金 qui signifie également or ou argent. D'où l'association cochon d'or pour cochon de métal. En outre, l'or est classiquement associé au blanc et à l'ouest.
Notons que le 8ème tronc céleste xin 辛 correspond au métal jin 金, au poumon fei 肺, à l'ouest 西, à l'automne 秋, à Vénus jinxing 金星, au blanc 白, à la note shang 商, à la saveur xin 辛.
Xin 辛 signifie donc à la fois 8ème tronc céleste et à la fois saveur âcre, piquante (saveur du poumon) qui lui est associée. La saveur, dans la culture chinoise peut se comparer à "l'esprit" d'un aliment.
Chaque cycle sexagésimal n'ayant qu'une seule année cochon associée au métal ("or"), si vous n'ètes pas de 1971, il ne reste que 1911 !
Le cochon d'or, info ou intox?
sur Chine Informations
Pourtant, depuis trois semaines, la polémique couve: 2007 ne serait pas véritablement celle du cochon d'or selon certaines interprétations du calendrier chinois. Le zodiaque chinois est divisé en douze animaux; combinés avec cinq éléments – le métal, le bois, le feu, l'eau et la terre -, cela donne soixante cycles différents et les années associées au métal seraient celles qu'on appelle aussi années de l'or. Or selon Zhao Zhihang, directeur de la société d'astronomie de Tianjin, "la dernière année du cochon d'or remonte à 1971", à la fin de la révolution culturelle. Mais à l'époque, il était interdit d'évoquer les croyances de l'astrologie chinoise.
L'idée d'un "cochon d'or" pour 2007 aurait alors été instillée par les industries liées aux nourrissons pour des avantages évidents de marketing… Cela n'empêche pourtant pas les journaux de colporter toutes sortes d'histoires loufoques liées au phénomène. Comme celle d'une jeune fille de 23 ans, célibataire, qui a été forcée par sa famille à faire un enfant sans être mariée. Un comble en Chine, où le statut de la mère célibataire n'est pas reconnu.
La critique est facile
- râleur
- critique
- jamais content
- toujours en opposition
- donneur de leçon
"On ne critique pas, on constate"
"Travailler plus pour gagner plus." Le slogan du futur président de la République française ne correspond pas au premier souhait des salariés. C'est la conclusion d'une étude mondiale sur le thème "Ce que veulent les travailleurs", réalisée par le cabinet britannique FDS auprès de 13 832 employés dans 23 pays fin 2006.
Cette étude montre que les actifs, notamment français, cherchent surtout à avoir un travail intéressant. Leur satisfaction viendrait ensuite de la reconnaissance de leur travail par leur hiérarchie. Les Français sont aussi en quête d'un équilibre entre vie privée et vie professionnelle. Bien qu'ils ne travaillent que 34,5 heures par semaine en moyenne, nos compatriotes sont tout de même 34 % à estimer que les heures travaillées empiètent sur la qualité de leur vie privée.
Dans l'Hexagone, sur la question des salaires les employés interrogés adoptent une posture ambivalente. Ainsi, leur niveau de rémunération n'arrive qu'en dernière position de leurs revendications. Toutefois, les auteurs de l'étude observent que "les augmentations de salaires traduisent une forme de reconnaissance". Autrement dit, l'appréciation du travail, réclamée en priorité, passerait par des hausses salariales. De fait, la feuille de paie est le facteur principal d'insatisfaction des travailleurs français. Un motif de grogne parmi d'autres. "En dépit de leur relative bonne fortune, les Français sont les plus mécontents de leurs conditions de travail", note l'étude.
Mécontents mais aussi revendicatifs. nos compatriotes figurent ainsi en tête du palmarès des travailleurs les plus "râleurs" au monde, juste devant les Britanniques et les Suédois ex aequo, les Irlandais étant ceux qui se plaignent le moins. " La recette du succès pour être heureux au travail est d'instaurer une collaboration véritable et de nombreux échanges entre employeur et travailleur. En France le modèle hiérarchique est très rigide et, en Angleterre, le fonctionnement trop individualiste", remarque Charlotte Cornish, directrice du groupe de recherche FDS.
Reste néanmoins un point positif. La sinistrose française semble refluer. Les Français ont le moral. Moins que les Néerlandais - en tête du classement -, les Thaïlandais, les Suisses ou les Anglais mais bien plus que les Japonais, qui figurent parmi les travailleurs les plus déprimés du panel, juste devant les Allemands.
CLAIR
C'est clair, que ceci reste clair
...
La critique est facile
Creer est beaucoup plus difficile
On part pas comme ca
La Chine vient d’établir de nouveaux critères concernant l’adoption des orphelins chinois par les demandeurs étrangers, qui entrent en vigueur au 1er mai 2007. Ces nouvelles mesures restreignent le champ des adoptants par une sélection drastique excluant les célibataires, les plus de 50 ans, les obèses ou… les non-propriétaires !
mercredi, mai 16, 2007
Y a des limites a la democratie
Extrait :
Les 330 000 adhérents de l'UMP, dont près de la moitié se sont encartés en 2005 et 2006 avec la promesse d'élire leur chef, peuvent ranger leur carte jusqu'en 2017, M. Sarkozy ayant promis de changer la Constitution pour limiter le cumul du nombre de mandats présidentiels à deux.
Djamila et Samia s'attaquent à des "gros morceaux"
Samia : au PS puis chez Bové maintenant chez Bayrou.
Dans un an, elle sera chez qui ?
Au sous-sol de la Mutualité, à Paris, alors que s'ouvrait, jeudi 10 mai, le conseil national de l'UDF appelé à se prononcer sur la création du Mouvement démocrate, on pouvait voir deux longues files d'attente. Le parcours du futur candidat aux législatives, reconnaissable à la pastille rouge apposée sur son badge, commence au pied de l'escalier de droite.
Djamila Bouguerra et Samia Merkani prennent leur tour pour retirer leur "kit" du candidat. L'une et l'autre défendront pour la première fois les couleurs du mouvement centriste aux élections législatives. Les deux "copines" n'ont pas l'air le moins du monde intimidées. Elles vont pourtant s'attaquer à des "gros morceaux". La première se présente dans la 7e circonscription du Rhône, dont le député sortant est Jean-Jack Queyranne, président (PS) de la région Rhône-Alpes. La seconde est investie, dans la 14e, à Vénissieux, face au député sortant, André Gerin, maire (PCF) de la ville.
Djamila Bouguerra, militante associative à Vaulx-en-Velin, est adhérente de l'UDF depuis 2002. Elle a déjà été candidate aux élections cantonales en 2004. Dès l'automne 2006, alors que François Bayrou entrait en campagne pour la présidentielle, elle était pressentie pour être investie aux législatives.
Pour Samia Merkani, en revanche, c'est une première. Elle n'avait encore jamais participé à une réunion nationale de l'UDF. Cette ancienne militante du PS, après avoir soutenu José Bové, a décidé de s'engager dans la bataille avec François Bayrou. "Le coeur c'est Bové, la tête c'est Bayrou. Je suis de gauche, je ne renie en rien mon parcours", affirme-t-elle.
Première étape : remise du "Guide du candidat". Celui-ci porte encore le logo de l'UDF. Mais le CD-ROM qui l'accompagne précise bien que, à la ligne "étiquette choisie" du formulaire de déclaration de candidature, il faudra inscrire "UDF Mouvement démocrate".
Sur le CD-ROM sont également fournis les "17 engagements nationaux" qui constitueront le socle de la candidature, ainsi qu'un dossier comprenant des exemples de profession de foi, d'affiche, de journal et des éléments graphiques. Une fiche explicative "pour élaborer votre propre site Internet" est également fournie. "Ces exemples vous permettront de construire vos propres documents, rapidement, avec une identité visuelle", précise la note de l'équipe de campagne.
Seconde étape : passage par le studio photo aménagé au pied de l'escalier de gauche. Nouvelle file d'attente. Certains espéraient pouvoir se faire tirer le portrait avec M. Bayrou. Ils devront se contenter de poser seuls devant un fond vert, un montage permettant ensuite de montrer le candidat et son mentor côte à côte.
Devendra Banhart comme Vous Ne L'Avez Jamais Vu.
lundi, mai 14, 2007
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Cécilia Sarkozy
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Pour les articles homonymes, voir Sarkozy (homonymie).
Cécilia Sarkozy, née Cécilia María Sara Isabel Ciganer Albéniz le 12 novembre 1957 à Boulogne-Billancourt, est l'épouse de Nicolas Sarkozy, élu Président de la République le 6 mai 2007.
Sommaire[masquer]
1 Biographie
2 Rôle en politique
3 Polémiques
4 Bibliographie
5 Notes et références externes
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Biographie [modifier]
Son grand-père Ciganer est roumain, tsigane (d'où le patronyme de « Ciganer »). Son père, André, est ami de Joseph Kessel, il s'installe à Paris comme fourreur rue François-Ier, puis place Beauvau. Sa mère, Teresita (dite Diane) Albeniz, était espagnole, fille d'ambassadeur belge et petite-fille du compositeur Isaac Albéniz.
Elle a trois frères aînés. Patrick Ciganer est citoyen américain, et travaille dans une unité de gestion financière de la NASA. Christian Ciganer est consultant (Framatome, Axa, Lagardère, Crédit Foncier, Accor, Aurel Conseil...), et a été mis en cause dans l'affaire de la vente de la salle Pleyel[1]. Ivan Antoine Ciganer est directeur des ventes de Movistar Pérou, conseiller du commerce extérieur de la France et président de la Chambre de commerce franco-péruvienne.
Enfant, elle souffre de problèmes cardiaques qui retardent sa croissance. Elle est opérée à cœur ouvert à l'âge de 13 ans, et rattrape ensuite rapidement son retard de croissance (elle mesure maintenant 1,78 m).
Tout en suivant des études de piano (elle obtient un premier prix de piano au Conservatoire), Cécilia obtient son baccalauréat B après treize années chez les sœurs de Lübeck, et entame des études de droit à Assas. À l'époque, elle vit de petits boulots, travaille dans la communication, devient mannequin cabine chez Schiaparelli, la nuit. Elle abandonne finalement le droit et devient attachée parlementaire de René Touzet, sénateur de l'Indre (Gauche démocratique) et ami de son frère.
Elle rencontre puis épouse le 10 août 1984 Jacques Martin, l'animateur vedette de l'École des fans. Son témoin de mariage est Conrada de La Brosse, épouse de François de La Brosse. Ce mariage a eu lieu à la mairie de Neuilly-sur-Seine et a été célébré par son maire Nicolas Sarkozy. Elle cesse alors de travailler. Ils auront ensemble deux filles, Judith (née le 22 août 1984) et Jeanne-Marie (née le 8 juin 1987).
Elle quitte ensuite Jacques Martin pour rejoindre Nicolas Sarkozy, en compagnie de ses deux filles, âgées alors de six mois et deux ans et demi. Elle obtient le divorce en quatre mois (1989). Ultérieurement, une fois prononcé le divorce entre Nicolas Sarkozy et sa première épouse, Cécilia et Nicolas se marient, le 23 octobre 1996 à Neuilly. Ils ont un fils, Louis né le 28 avril 1997.
En mai 2005, en pleine campagne du référendum français sur la constitution européenne, elle n'apparaît plus aux côtés de son mari. Les médias français se font l'écho de la rumeur de problèmes conjugaux[2]. Ailleurs en Europe, des journaux comme Le Matin de Suisse romande et La Libre Belgique publient des détails, et indiquent qu'elle entretiendrait une liaison avec Richard Attias. Nicolas Sarkozy attaque en justice Le Matin, qui diffuse quelques centaines d'exemplaires en France, pour « intrusion et atteinte à la vie privée » et obtient partiellement gain de cause[3].
Patrick Balkany, un ami du couple, annonce dans le Parisien du 11 janvier 2006 que l'épouse est à nouveau auprès de Nicolas.
Lors du premier tour de élection présidentielle de 2007, elle vote en compagnie de son mari et de ses deux filles, mettant fin à plusieurs semaines d'invisibilité médiatique qui avait alimenté diverses rumeurs. Cependant le 26 avril 2007, soit 10 jours avant le second tour de l'élection présidentielle, divers journaux étrangers[4] reprennent l'information d'une nouvelle séparation du couple Cécilia et Nicolas Sarkozy[5]. La presse française reste largement muette[6]. Au delà du respect de la vie privée voulu par la loi, ces mêmes journaux pointent du doigt le manque d'indépendance des journaux français soupçonnés de faiblesse vis-à-vis du pouvoir[5]. Dès lors elle ne fait aucune apparition durant la campagne du second tour de l'élection présidentielle, elle n'apparaît plus au QG de campagne de Nicolas Sarkozy où elle a pourtant son bureau et elle ne vote pas non plus aux côtés de celui-ci comme lors du premier tour, selon un article du JDD (journal du dimanche) qui n'a pas pu paraître, elle n'aurait pas fait son devoir de citoyenne ce jour là[7]. Elle fera une réapparition remarquée le soir de l'élection vers 23h en accompagnant son mari, qui vient d'être élu, place de la Concorde où l'UMP fête sa victoire à l'élection présidentielle.
Rôle en politique [modifier]
Elle devient une personnalité connue des médias comme membre des cabinets ministériels de son mari dès 2002, même si elle a toujours été présente à ses côtés dans ses différentes activités politiques. Afin d'éviter toute polémique, Nicolas Sarkozy indique que son épouse n'est pas rémunérée pour son travail.
Elle n'a en général pas eu de rôle officiel, juste un bureau à côté de son mari, sauf à une occasion : elle a été officiellement nommée conseiller technique au cabinet de son époux le ministre d'État, ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie (Journal officiel du samedi 24 avril 2004).
Cécilia Sarkozy n'exerce plus aucune fonction officielle au sein de l'UMP mais a un bureau au QG de campagne de son époux pour la campagne présidentielle de 2007. Selon le Times[8], elle aurait convaincu son mari de faire appel à François de La Brosse, le mari d'une de ses amies, et à Rachida Dati.
Interrogée sur son rôle possible d'épouse de président, elle a répondu selon le New York Times que, dans dix ans, elle se voyait plutôt « à New York, en train de faire du jogging dans Central Park » [9].
Polémiques [modifier]
La pertinence de cet article est remise en doute. Considérez-le avec précaution. Discutez-en ou améliorez-le !
En juillet 2004, elle se dit fière de n'avoir « aucune goutte de sang français dans les veines » [10]. Ces propos sont rappelés pendant la campagne présidentielle de 2007 par Marine Le Pen après son père Jean-Marie Le Pen qui avait considéré Nicolas Sarkozy comme étant le candidat "issu de l'immigration"[11].
Le 9 novembre 2005, selon Le Canard enchaîné du 16 novembre 2005, Nicolas Sarkozy convoque au ministère de l'Intérieur le président-directeur-général des Éditions First, Vincent Barbare, pour le menacer de « foudres judiciaires et variées ». Cette maison d'édition s'apprêtait à publier le 24 novembre l'ouvrage signé de Valérie Domain, journaliste à Gala, et intitulé Cécilia Sarkozy, entre le cœur et la raison. Dans une interview du Parisien publiée vendredi 18 novembre 2005, Cécila Sarkozy indique que c'est elle qui a alerté son mari sur la sortie du livre. « Je ne souhaite pas que ma vie privée soit médiatisée », a-t-elle affirmé. L'auteur affirme quant à elle que Cécilia Sarkozy était parfaitement au courant de la teneur du livre. Valérie Domain souhaite que son ouvrage soit publié et est entrée en contact avec l'éditeur Fayard. Cette biographie de Cécilia Sarkozy par Valérie Domain a été publiée le 8 février 2006 et tirée à 100 000 exemplaires sous le titre Entre le cœur et la raison sous forme de roman aux éditions Fayard. Cécilia avait donné son accord pour cette biographie avant de se raviser après de multiples entretiens avec l'auteur. Du fait des menaces de poursuites judiciaires par le couple Sarkozy, Cécilia y apparaît sous le nom de « Célia Michaut-Cordier, épouse d'un homme politique influent ». « Une femme quitte un homme pour un autre. Homme de pouvoir, cet autre la voit à son tour lui échapper pour un troisième. Dès lors, il n'a de cesse de la reconquérir » résume l'auteur.
Le 13 mai 2007, le Journal du dimanche aurait décidé de ne pas publier un article qui affirme que Cécilia Sarkozy s'est abstenue de voter le 6 mai 2007 lors du deuxième tour des élections présidentielles. D'après rue89.com, un média en ligne créé par d'anciens journalistes de Libération, le rédacteur en chef du journal aurait subi des pressions importantes, dont celle d'Arnaud Lagardère, actionnaire de référence du journal[12].
Bibliographie [modifier]
Valérie Domain, Entre le coeur et la raison, Fayard, 2006, (ISBN 2213629080)
Portrait dans Libération le 8 juillet 2004, http://www.liberation.fr/transversales/portraits/117271.FR.php
Notes et références externes [modifier]
↑ Par exemple, Le Monde, 14 avril 2007, http://www.lemonde.fr/web/imprimer_element/0,40-0@2-823448,50-896066,0.html
↑ Par exemple, Le Nouvel Observateur, 30 juin 2005, http://archquo.nouvelobs.com/cgi/articles?ad=people/20050630.OBS1901.html
↑ Le Matin condamné à payer un euro à Nicolas Sarkozy, dépêche du 22 septembre 2006 : le directeur de la publication a été mis hors de cause, et le tribunal a débouté le plaignant sur la publication de la décision. Le jugement précise : « Il n’était pas illégitime d’informer sur la séparation du couple Sarkozy ».
↑ L'information à été publiée en Angleterre (The Independent), en Italie (La Repubblica), en Turquie (Sabah), aux États-Unis (The New York Times) par des journaux à rapprocher du Monde et du Figaro plutôt que de la presse « people ». Interrogé par le New York Times sur la séparation éventuelle du couple, Franck Louvrier a répondu par e-mail qu'il s'agissait d'une affaire privée (The New York Times, 27 avril 2007).
↑ a b Cherchez la femme: the mystery of Mme Sarkozy in The Independent, Londres, repris et traduit dans Le mystère Cécilia in Le Courrier internationnal
↑ Voir cependant Libération le 20 avril 2007 : http://www.liberation.fr/rebonds/248776.FR.php
↑ Lagardère aurait censuré un scoop sur Cécilia Sarkozy, Le Nouvel Observateur, le 13/05/2007
↑ The Times, 1er avril 2007, "Meet the wife: Sarko's secret weapon", http://www.timesonline.co.uk/tol/news/world/europe/article1596961.ece
↑ The New York Times, 27 avril 2007
↑ « La deuxième dame de France », Libération, 8 juillet 2004
↑ Marine Le Pen s'en prend à Cecilia Sarkozy, Le Point
↑ Article du Monde
samedi, mai 12, 2007
vendredi, mai 11, 2007
Griffonnont
Tout a un prix
LE MONDE 09.05.07
Extrait :
En ayant imposé, depuis 1979, la politique de l'enfant unique, les autorités chinoises se félicitent d'avoir évité plusieurs centaines millions de naissances en près de trente ans. Mais aujourd'hui, ces mêmes responsables tirent la sonnette d'alarme, redoutant les perspectives d'un nouveau boom démographique. Pourquoi ? Notamment parce que les membres d'une classe moyenne en pleine expansion peuvent se permettre de payer les amendes en vigueur quand les couples urbains dépassent le "quota" d'un enfant par famille.
Lors d'un forum sur la démographie organisé en avril dans les locaux de l'Université du peuple, à Pékin, le chef du bureau national du planning familial, Zhang Weiqing, a dressé la liste des raisons lui faisant redouter une hausse prochaine du taux de natalité, comme cela serait déjà le cas dans des villes du Centre et de l'Ouest chinois : d'abord, à la campagne, on continue à se marier trop tôt, ce qui incite les femmes à avoir plusieurs enfants. (Les paysannes ont déjà la permission d'avoir un deuxième enfant si le premier est une fille.) Ensuite, les agents du planning familial ont tendance à relâcher leur vigilance. Enfin, la propension des hauts fonctionnaires et des célébrités du show-business et du cinéma à enfanter au-delà des normes imposées - quitte à payer à cette fin une amende allant de 5 000 à 200 000 yuans (480 à 19 000 euros). La pénalité financière devient ainsi une sorte de taxe permettant aux riches de contourner les réglementations. Environ 10 % des Chinois aisés auraient trois enfants, selon des chiffres officiels.
Les provinces du Ningxia (nord-ouest) et du Zhejiang (sud-est), ainsi que les municipalités de Changchun (nord-est) et de Chongqing (sud) viennent de prendre des mesures similaires. Parallèlement, les autorités commencent à s'émouvoir d'une inquiétante dérive : de nombreuses femmes désireuses d'échapper au contrôle des naissances choisissent d'accoucher à la maison ou dans des cliniques illégales.
Selon les statistiques officielles, la moitié des décès de femmes mortes en couches dans six provinces chinoises serait due à cette volonté de contourner la politique de l'enfant unique.
mercredi, mai 09, 2007
A la soupe !
Extrait :
"De droite ? sûrement. Démocrate ? évidement." Ce jugement est signé Jacques Attali. Dans le numéro spécial que L'Express consacre cette semaine à l'élection présidentielle, l'ancien conseiller de François Mitterrand revient sur son "amitié" paradoxale avec Nicolas Sarkozy : "Il aurait dû détester tout ce que je représentais, pourtant il n'hésitait pas à me dire son admiration pour François Mitterrand et son mépris pour la plupart de ses amis politiques."
A l'heure où M. Sarkozy a promis des "surprises" et une "ouverture à gauche" dans son prochain gouvernement, l'hommage d'un des principaux mitterrandiens n'est pas inutile. Ce sont d'ailleurs ceux-là qui regardent le prochain chef de l'Etat avec le plus d'indulgence. Roger Hanin et Max Gallo l'ont rejoint.
L'écrivain et éditorialiste Georges-Marc Benamou, qui fut le confident du président socialiste, a travaillé pour lui au cours de la campagne. Anne Lauvergeon, ex-sherpa de François Mitterrand, l'a chaleureusement guidé lors d'une visite chez Areva à Chalon-sur-Saône. Le sénateur PS du Puy-de-Dôme, Michel Charasse, l'a reçu dans sa mairie de Puy-Guillaume.
Dimanche 6 mai, M. Sarkozy a évoqué devant ses visiteurs les noms de Jean-Pierre Jouyet, ancien directeur de cabinet de Jacques Delors et proche du couple Hollande-Royal, et Denis Olivennes, patron de la Fnac et réputé proche de Laurent Fabius, en affirmant qu'ils l'avaient "rejoint" après avoir affiché leur soutien à François Bayrou pendant la campagne.
Des liens ont également été noués avec certains autres des signataires de l'appel des Gracques, ces hauts fonctionnaires qui avait appelé le PS à s'ouvrir au centre.
Mais l'homme qui fait rêver les sarkozystes s'appelle Bernard Kouchner. Ils ont noté avec satisfaction que l'ancien "French Doctor" s'était élevé contre le procès en diabolisation intenté contre le candidat de l'UMP.
Un autre proche de M. Sarkozy évoque des "contacts" avec Martin Hirsch, le directeur de l'association Emmaüs. Il explique toutefois qu'il y a "d'autres façons pour des gens de gauche de servir Sarkozy qu'en entrant au gouvernement". Un élu ironise : "L'ouverture au centre marche trop bien, nous avons plus de candidats que de postes. A gauche, c'est plus problématique : il y a plus de postes que de candidats déclarés."
mardi, mai 08, 2007
Beauf et Ringard
Selon une dépêche AFP, François Bayrou affirme que Nicolas Sarkozy lui avait proposé une alliance anti-Chirac.
François Bayrou affirme que Nicolas Sarkozy lui avait proposé il y a trois ans une "alliance" contre Jacques Chirac, dans des propos dont le site internet du journal Sud-Ouest diffuse mercredi un enregistrement.
"Je te propose une alliance contre Chirac. On va faire les jeunes et on va le démoder, lui qui est vieux. On va lui faire la guerre et, au bout du compte, on fait une alliance contre Chirac", aurait déclaré M. Sarkozy, affirmait François Bayrou en mars dernier, s'exprimant en "off" devant des lecteurs du journal.
Bien sur, Les Guinols ont sortis Chirac qui hurlait "Moi ? Ringard ?". Puis, tous le long de l'émission, il annonçait les soutiens de Sarkozy :
- Pascal Sevran
- Sardou
- Candeloro
- Poulidor
- Virenque
- Tapie
Quand on voit le reste de la troupe, c'est plutôt Beauf & Ringard :
- Doc Gyneco
- Johnny
- Roger Hanin
- Bigard
- Clavier
- Enrico Macias
- Daniel Prévost
- Faudel
- Guy Roux
- Alain Delon
- Mireille Mathieu
- Henri Leconte
- Vincent McDoom
- Didier Barbelivien
lundi, mai 07, 2007
Realite
Pan sur le bec
Ségolène Royal
Ca commence fort
Il est beau, il est fort, il a de la volonté.
A 20 h 45, dimanche 6 mai, François Bayrou rejoint la salle de presse de son siège de campagne pour faire une déclaration. Il a attendu dans son bureau que Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy se soient exprimés. Entre-temps, Jean-Marie Le Pen a également pris la parole en direct. Le candidat centriste, arrivé en troisième position au premier tour de la présidentielle, s'installe au micro, face aux caméras alignées - TF1 n'a envoyé personne. Il attend que le "top" de départ lui soit donné et prononce une intervention de cinq minutes... qu'aucune chaîne publique ne retransmet en direct. Pendant ce temps, les échanges entre les invités se poursuivent sur les plateaux de télévision. Seuls des extraits de la déclaration seront diffusés en différé. "Ils n'ont pas attendu longtemps pour me faire payer", lâche M. Bayrou, passablement dépité.
Lors de son premier discours Nicolas Sarkozy n'a pas manqué d'évoquer le sort des infirmières bulgares emprisonnées à Tripoli, une cause qui lui semble chère depuis sa campagne pour la présidentielle. Sauf qu'il a parlé des "infirmières libyennes"... La presse bulgare s'interroge.
Il y a une chose qui n'aura pas échappé aux Bulgares dans le premier discours du futur président français, Nicolas Sarkozy, c'est son engagement pour les opprimés et les injustices dans les monde - les "femmes en burqa" et les dictatures... -, une partie fort lyrique où il a également mentionné les "infirmières libyennes".
Il s'agit, bien évidemment, d'une petite erreur de la part du nouveau président de la République. C'est bien des infirmières bulgares emprisonnées en Libye qu'il était question, une cause à laquelle Nicolas Sarkozy, encore candidat de l'UMP, s'était dédié les derniers jours de sa campagne. Il avait alors franchement impressionné ses interlocuteurs bulgares, les proches et la familles des cinq infirmières de passage à Paris, en s'engageant notamment à en faire une "priorité de sa présidence" s'il venait à être élu."S'il le faut, j'irai les chercher moi-même en Libye", a-t-il lancé aux proches des infirmières condamnées à mort pour avoir volontairement inocculé le virus du sida à des enfants libyens.
GRÂCE À LA FRANCE, LES INFIRMIÈRES RENTRERONT À LA MAISON ?
Le lendemain de ces déclarations, la presse bulgare ne cachait pas sa satisfaction : "Grâce à la France, les infirmières rentreront à la maison", titrait un quotidien à grand tirage de Sofia. En privé, les proches des condamnées disaient que, après plus de neuf ans de calvaire, pas mal de déceptions et beaucoup de tentatives de récupération de leur cause, ils étaient enfin rassurés par un homme politique européen.
D'où le désarroi, voir la déception des quelques correspondants bulagres à Paris d'entendre le nouveau président français évoquer des "infirmières lybiennes". "J'ai l'impression qu'il n'a pas bien compris de quoi il s'agissait", confie l'une d'entre elles. "C'est peut-être pour cela que lors du débat télévisé avec Royal, il leur avait offert l'asile en France."
Vladi Nikolov, dont les articles sont publiés par le quotidien Dnevnik et l'hebdomadaire économique Kapital " ne manquera pas d'inclure cette 'bourde'" dans son prochain portrait de Nicolas Sarkozy. "J'ai été catastrophé, explique-t-il. Cela montre bien comment des causes sont récupérées par des hommes politiques, sans être forcemment comprises et assimilées."" Cela fait tellement longtemps qu'elles sont emprisonnées à Tripoli qu'elles ont peut-être obtenu la nationalité libyenne ?" ironise un autre correspondant de Sofia.